top of page

Planche n°19 :

Case 1_F. : « Or, base ou pas base, une pensée peut toujours être remise en cause car on peut toujours la contredire, c’est-à-dire défendre la pensée opposée, tant que l’une et l’autre ne sont pas confondues. »

Case 2_F. : « Et tant qu’elle n’est pas absolue, c’est-à-dire illimitée, une pensée a toujours une (ou des) opposée(s) : la ou les pensées qui la délimitent. »

Case 3_F. : « Je peux donc conclure, puisque je m’appuie sur l’illimité, que : 
toute pensée peut être réfutée, mis à part celle-ci. »
 
Grand sourire.

Case 4_F. : « J’attire également votre attention sur le fait qu’un simple mot peut constituer une pensée… »

Case 5_F. : « Et de même que les choses matérielles, chaque mot prend son sens (son existence) par rapport à d’autres mots qui le définissent. »

Case 6_F. : « Et, là non-plus, il n’y a pas de mots qui puissent servir de base absolue pour les autres, la meilleure preuve étant que dans un dictionnaire tous les mots sont définis. »

Case 7_F. : « La qualité de ce qui définit (les mots, les choses…) - que l’on pourrait appeler : le « définitif » - est infini. »

bottom of page