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Planche n°11 :

Case 1_F. : «  « Et » poursuit-il « remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes propositions des sceptiques n’étaient pas capable de l’ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.  »  »

Case 2_F. : « Comment, en doutant de tout, Descartes parvient-il à conclure que c’est « je » qui pense et non « quelque chose » (dont il n’aurait rien pu tirer) ? »

Case 3_F. : « Je ne vois qu’une seule solution : il n’a jamais douté de l’existence de son « je ». »

Case 4_F. : «  Descartes n’a pas prouvé l’existence du « je », mais seulement confirmé qu’il n’arrivait pas à en douter. »

Case 5_F. : «  Car c’est une magistrale méprise de croire qu’en doutant de tout, on puisse ne pas douter de tout. »

Case 6_F. : «  D’ailleurs, Descartes n’a même jamais douter de l’existence du monde, il a tout au plus réussit à songer que celui-ci pouvait être faux, tel un rêve éveillé. » 


Le cochon d’Inde : « Ce qui n’est pas la même chose. »

Case 7_F. : «  Mais à croire que le monde est faux, il est nécessaire qu’il en existe un vrai. » 

Le cochon d’Inde : « Au moins soi-même… »

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